Comprendre le cut off en quelques points clés

Le cut-off, d’une grande importance en comptabilité, est une procédure d’immobilisation permettant la bonne gestion des différentes transactions. Il est donc nécessaire de l’apprendre pour pouvoir travailler dans le domaine de la comptabilité et de la finance. Qu’est-ce que la cut-off ? Que devons-nous savoir sur son fonctionnement ? Comment pouvons-nous l’utiliser en comptabilité pour l’engagement dans la gestion des entreprises ? Cet article apportera quelques réponses à cette question.

Qu’est-ce qu’un cut-off ?

Le terme « cut-off » au sens littéral décrit l’acte d’immobilisation afin d’établir le principe de la séparation comptable. Ainsi, dans chaque période comptable, les revenus, les dettes, TVA et les dépenses encourus dans la période requise peuvent être alloués de manière fiable et cohérente. L’objectif est clairement de s’assurer que chaque facture est reflétée avec précision dans les comptes de trésorerie. 

L’engagement de la procédure de cessation d’activité est donc basé sur : 

Le principe d’indépendance de l’exercice comptable
Communication fidèle des comptes
L’implication permanente de toutes les parties prenantes, en particulier l’entreprise et les fournisseurs

Mise en œuvre de la procédure de cut-off 

Le principe de base du cut-off étant de vérifier que la date de livraison ou de réception des marchandises par le fournisseur est correcte, il est nécessaire d’établir les engagements comptables nécessaires à ces contrôles de facture. Tout d’abord, il est important de faire les immobilisations sur les opérations de vente et d’achat qui n’ont pas été coupées au cours des mois précédents et qui sont arrêtées à la date de clôture de l’exercice en cours. 

Chaque transaction doit ensuite être vérifiée efficacement à l’aide de documents justificatifs des fournisseurs. Le personnel comptable doit donc être vigilant pour détecter tout irrégularités. La moindre erreur devient la responsabilité de l’entreprise et doit être traitée sans ménagement. Les principaux défauts sont les factures non livrées par les fournisseurs, les factures impayées et les charges payées d’avance. Les immobilisations de cette étape permettront, bien entendu, de lever tout droit concernant la propriété juridique de la plupart des actifs de trésorerie de l’entreprise.

Enfin, une fois l’état réel des finances de l’entreprise établi, il sera possible d’identifier plus clairement les dettes qui n’ont pas encore été réalisés par les fournisseurs et d’estimer la TVA restante. Il est donc plus subtil de se concentrer sur les véritables forces de votre organisation et d’anticiper l’avenir avant de fermer les livres.

Une meilleure gestion de la comptabilité des coupures : comment faire ? 

Afin de mieux gérer les échéances comptables des entreprises, il est essentiel d’être bien organisé. Une bonne gestion ne signifie pas improviser à la dernière minute, mais plutôt risquer de négliger plusieurs détails importants. Il est donc très important d’identifier à l’avance toute irrégularité et d’effectuer des contrôles réguliers. La propriété des entreprises peut être prouvée en vérifiant les factures du fournisseur et en comparant directement les documents d’accompagnement. Pour une réponse plus rapide, il existe des logiciels qui garantit que le processus d’adjudication est effectué automatiquement. Ces outils peuvent être recommandé compte tenu du haut degré de numérisation que connaît le monde du droit de travail d’aujourd’hui.